De la course à la marche
Les choses se sont nettement compliquées en mai 2018 à un moment où j’avais le sentiment de connaître un pic de forme. À la suite d’exercices d’assouplissement un peu trop poussés, une douleur à la hanche et des maux de dos récurrents m’ont conduit à limiter le sport. La période du COVD n’a pas arrangé les choses.
Mais au début 2022, je demande à mon médecin généraliste de regarder à nouveau l’état de ma hanche qui jusque-là n’avait pas été considéré comme justifiant une opération. Les radios suivies d’un scanner conduisent à la décision d’opérer qui fut mise en œuvre en juin.
J’ai très vite récupéré et depuis quelques mois, je peux m’accorder des temps de course lorsque les pentes ne sont pas trop fortes. Mon objectif est de faire le km sur le plat en 6 minutes soit à 10 à l’heure. J’en suis à 9,4.
Cette activité physique m’est un facteur d’équilibre indispensable sur le plan biologique, mais aussi sur le plan psychique car elle met toujours en route la chimie du cerveau.
Je m’enregistre maintenant en courant pour garder en mémoire ce qui autrefois était traité par des notes de footing.