Trois gamins de la rue M

La rue M comme « rue merdeuse » devenue rue des roses a vu naître Etienne Verne, Hervé Millet et Jean-Claude Millet. Tous sont passés par une éducation chez les frères des écoles chrétiennes où ils ont fait l’ensemble de leurs études jusqu’à leurs diplômes universitaires ou d’ingénieurs. 

Ils ont réalisé des œuvres significatives et signifiantes, mais surtout, ils les ont entrepris en dehors des sentiers battus. 

Leurs cas, regroupés dans ce microcosme de la rue M, présentent un intérêt sociologique et plus généralement pour toutes les sciences qui se rattachent à leurs trois composantes de base, biologiques, sociales et spirituelles. 

Ils ont convenu de mettre à la disposition les uns des autres leurs chemins de vie depuis les conditionnements de leur enfance jusqu’à ceux qu’ils se sont choisis, en s’appuyant sur la connaissance introspective des premiers pour en faire une force plutôt qu’une occasion de perte d’énergie. 

L’esprit du livre, en s’appuyant massivement sur les faits, laissera des espaces importants d’interprétations au lecteur, à moins que pour une part, nous nous trouvions en face d’invariants dont il conviendra alors de discuter de la portée.